20130323

Así están en Francia

Deux histoires parisiennes… chronique de la haine ordinaire ! par Christine Tasin
Classé dans : Uncategorized — francaisdefrance @ 23:52

Laboite A Scandale

18 avril 20:34

Voici la lettre que m’a envoyée une amie, récit de deux anecdotes vécues, inquiétantes mais significatives.

Je vais te conter deux « histoires » qui me sont arrivées récemment. Illustration de ce climat délétère qui règne dans notre pays. Tu me parlais des risques de « guerre civile ». Nous y étions. J’étais dans le métro, et une jeune femme noire ne pouvait descendre seule sa poussette avec son bébé dedans. J’avise un homme qui passait, et lui demande d’avoir la gentillesse d’aider la dame. Il me répond, furieux : « Et quoi encore ! Je vais pas me casser les reins pour un singe qui aurait dû rester dans les arbres ! ». Outrée, je lui dis « Monsieur, je ne peux pas vous laisser dire cela… » Lui me coupe, et violemment « Ah bon, je vais me gêner, pute à nègres ! », et il me colle contre le mur. J’ai bien cru qu’il allait me casser la figure. Pendant ce temps, la jeune mère regardait la scène, sans intervenir. Le type finit par s’en aller. Si je ne m’attendais pas à des remerciements, je m’attendais encore moins aux paroles qu’elle a prononcées, comme si elle parlait de la pluie et du beau temps. « Des gens comme vous, y’en a quelques uns. Je me souviendrai de vous quand on vous éliminera tous, mais je ne pourrai rien faire ». Le terme « éliminer » m’a fait comme un électrochoc. Comme l’autre taré m’avait à moitié étranglée, j’ai pensé avoir mal compris, et lui ai demandé si elle avait bien employé ce mot. Elle a confirmé.

Bref, la jeune femme noire confirme les paroles de Houria Bouteldja. Les Français d’origine, racistes ou pas, y passeront comme les autres quand la révolution des printemps arabes sera passée en banlieue, comme la dite Houria Bouteldja et Ramadan y encourageaient leurs auditeurs à Bagnolet. La phrase de cette jeune femme noire signifie qu’il y a actuellement un vent de haine et de violence qui est en train de préparer une guerre des immigrés ou descendants d’immigrés contre les Français d’origine. Ce ne sera pas une guerre civile si ces immigrés ne sont pas français, ce sera une guerre contre un occupant qui veut imposer ses lois. Ce sera une guerre civile si des descendants d’immigrés et des Français d’origine se battent aux côtés des premiers pour imposer, comme le recommandent un Ramadan et un Qaradawi, la charia en FRance et la fin de la liberté, d’expression, de culte, de pensée…

Deuxième histoire : J’étais dans un bus, je revenais de subir des examens médicaux douloureux, je ne me sentais pas bien du tout. Une jeune femme noire (encore !) monte, et bouscule une dame âgée, pour s’asseoir. La dame proteste poliment « Mademoiselle, vous m’avez bousculée violemment, j’ai plus de 90 ans, j’ai peut-être le droit d’avoir une place assise à mon âge ! ». La noire, non seulement ne se lève pas, mais l’agresse verbalement « Espèce de sale raciste, ferme ta gueule ! ». J’interviens, tout en me levant pour laisser ma place à la vieille dame « Pourquoi êtes-vous si agressive, et injuste, cette dame est restée polie avec vous qui ne l’avez pas été… ». L’autre me coupe : « Toi ta gueule, te mêle pas de ça ! » (envie de meurtre de ma part) La dame était indignée. Elle dit à l’autre : « Je suis une vieille résistante mademoiselle. Je me suis battue contre le nazisme, vous ne pouvez pas me traiter de raciste ! ». Je renchéris qu’il y en a assez de ce mot, et demande qui finalement est raciste, et là, la noire se déchaîne contre moi, contre les blancs. Elle me demande de sortir du bus, me disant « Vas-y, tape-moi dessus ! ». Là, j’ai réalisé qu’elle faisait de la provoc, et que c’était moi qui allait avoir des ennuis. Parce qu’encore une fois, personne ne prenait mon parti. Un type m’a même dit, alors qu’il descendait avec moi « Attention au racisme, Madame ! ». Un comble ! Quel climat, Christine !

Mon amie a tout dit, « quel climat, Christine ».

Et on a combien de chances de voir cela changer si c’est à nouveau l’UMPS qui est aux manettes après les élections ?

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